Aujourd’hui, je vous parle de Marina, 43 ans, qui a perdu 17kg et surtout réussi à soulager ses pathologies, en passant à une alimentation cétogène hypotoxique, après deux décennies d’errances entre intolérances alimentaires et maladies inflammatoires.

Ou plutôt non : je vais la laisser vous raconter son parcours :
Depuis 25 ans, je cherchais pourquoi j’étais en surpoids depuis bébé, malgré mon régime familial super équilibré avec plein de légumes. Ces dernières années, j’avais augmenté au fur et à mesure les végétaux pour arriver à devenir végétarienne pendant 6 mois : j’ai gonflé et pris 10kg en 2 ans.
Je savais déjà que j’avais des intolérances alimentaires qui augmentent si je mange souvent d’un aliment : j’étais devenue intolérante aux bananes quand je mangeais des bananes au petit-déjeuner, pareil avec les œufs … Je savais aussi que mes intolérances aux produits laitiers et au gluten étaient, eux, permanentes, et que les effets secondaires (acné, mal de dos, problèmes de transit) étaient amplifiés quand j’étais stressée.
Depuis quelques années, j’avais identifié que je souffrais d’une candidose généralisée (champignon irritant et invasif). J’avais alors supprimé le sucre, le miel et les fruits de mon alimentation de base ; mais je continuais à en manger dans les moments sociaux, les fêtes et les invitations (et beaucoup trop avec les douceurs apportées au bureau par mes collègues…).
J’ai profité du premier confinement pour tester l’alimentation cétogène grâce au programme de Sophie, en avril 2020.
Très rapidement, j’ai perdu mes premiers kilos. Mais j’ai aussi très vite compris que le changement devrait être plus profond pour moi que pour beaucoup d’autres participantes : mon corps est hypersensible, je le sais. Mais je ne mesurais pas à quel point.
Après avoir réussi à manger suivant les macros que j’avais définies grâce au programme, j’ai suivi les Lives de Sophie pour essayer de traquer ces autres paramètres qui m’empêchaient de continuer à perdre du poids.
Je n’avais déjà plus de fruits ni de sucres, j’avais viré les féculents et les légumineuses.
J’ai dû supprimer les oléagineux, tous, et trouver des alternatives aux gras habituels : finis les huiles et les beurres à base de graines et de soja (anti-nutriments), bonjour l’huile d’olive et l’huile de coco. J’ai dû donner tous mes produits alternatifs bio très chers (farines, pâtes sans gluten, etc.) à une copine, car, vraiment, il fallait que j’arrête de faire du mal à mon corps.
Après quelques mois, comme je voyais bien que les aliments autorisés continuaient d’irriter mon corps, Sophie m’a redirigée vers le régime cétogène hypotoxique. J’étais choquée par tant de radicalité alimentaire. Mais mon corps, lui, se portait de mieux en mieux : je continuais à perdre du poids, mes douleurs articulaires disparaissaient, mon moral était meilleur, ma peau et mes cheveux étaient devenus superbes !
Alors, j’ai continué à m’adapter et à creuser, pour essayer de comprendre quel était le meilleur régime alimentaire pour mon corps. Je me suis aussi inquiétée parce que mon transit n’était plus « normal ». J’ai fait des prises de sang pour m’assurer que je ne me sabotais pas moi-même. La généraliste m’a trouvée une hypothyroïdie et du cholestérol : l’hypothyroïdie fait partie des symptômes d’une maladie génétique que j’ai réussi à identifier entre-temps (SEDh), et le « cholestérol » est normal quand on mange très gras, mais absolument pas inquiétant quand on mange zéro sucre. C’est bien la combinaison gras + sucre qui bouche les artères !
A force de lectures, j’ai compris que j’avais aussi un SAMA (associé au SEDh), qui rend hypersensible aux histamines contenus dans les aliments (ciao les épinards et les olives, les tomates et les aubergines, les aliments fermentés et les viandes transformées), et que je devais sélectionner consciencieusement les quelques aliments qui étaient bons pour moi.
Après 1 an d’alimentation cétogène, je suis stabilisée à -17kg. J’ai retrouvé le poids que j’avais à 20 ans (1m74, 74kg). Ma peau est superbe, mon moral excellent malgré le COVID et, grâce aux conseils de Sophie, j’arrive enfin à cuisiner de manière goûteuse et bonne pour ma santé.
Par mes lectures complémentaires, j’ai appris que le SEDh m’impose de prendre des compléments alimentaires que mon corps ne synthétise pas (principalement des vitamines et des antioxydants), et le SAMA de suivre un régime strict basé sur des aliments hyper frais, cuits à basse température, et d’éviter de manger plus de 3 fois le même aliment par semaine pour éviter de nouvelles intolérances.
L’accompagnement de Sophie m’a permis de mieux comprendre le langage de mon corps face aux aliments.
Et comme elle le conseille, je continue à me peser tous les matins au réveil, pour vérifier que ce que j’ai mangé la veille n’était pas irritant ; il y a encore 2 jours, j’ai identifié que le céleri rave était trop sucré pour moi…
Maintenant, quand je reprends du poids, je sais directement pourquoi et comment corriger le tir !
Un grand BRAVO Marina et un aussi grand MERCI pour ton témoignage très encourageant et aussi très rassurant car tu démontres bien qu’il y a une solution à tous les obstacles que l’on rencontre pour retrouver une bonne santé et se sentir bien dans son corps.
Marina a mené une enquête minutieuse pour se comprendre, c’est clair !
Merci beaucoup pour ce témoignage. J’ai des problèmes inflammatoires, articulaires et d’intolérances alimentaires alors ça me parle vraiment. Je commence tout juste le programme.
Bonne continuation 😊
Bonjour et bravo pour votre parcours.
Et quelle surprise pour moi de trouver une coreligionnaire !
J’avais espoir que Sophie puisse m’aider tout en l’informant sur le SED et le sama mais puisque « le boulot est fait »c’est formidable ! Je suis d’autant plus en confiance !